Nous venons de recevoir l’adhésion d’un très jeune Compagnon, Thomas. Celle-ci est accompagnée d’un courrier, très touchant, dont nous vous livrons ci-après quelques extraits, tant ce texte nous semble être de nature à réchauffer les cœurs des vieux gaullistes et former de solides espoirs pour demain.

Le Gaullisme n’est pas une nostalgie.

Le Gaullisme n’est pas mort.

Il est en chacun de nous et pas uniquement chez les plus anciens, et notre jeune Compagnon en est la preuve vivante.

La relève semble assurée !

 Extraits de la lettre de notre jeune Compagnon, Thomas :

 « …Cette longue histoire avec le Général remonte à l’âge de mes six ans, lorsque j’ai découvert le livre de Georges Hémeret « Les Présidents ». Le Général de Gaulle y était alors représenté sur la première de couverture, et j’ai immédiatement été fasciné par la posture de l’homme, sa prestance, son regard. Après cette première rencontre décisive, j’ai lu assidûment ses Mémoires, ses Discours, ainsi que les nombreuses biographies qui lui ont été consacrées. J’y ai découvert la figure de l’homme providentiel, et une « certaine idée de la France ».

 Je me suis toujours senti patriote, profondément attaché à mon pays, ainsi qu’à ses valeurs et à sa culture. Je me refuse catégoriquement à ce que la France et son histoire soient « bradées » au nom d’une idéologie mortifère qui n’a que pour but d’annihiler purement et simplement la France, de lui faire plier le genou… Comme le souhaitait le Général lui-même, il nous faut une France qui soit grande, indépendante, et où l’honneur et l’amour de la patrie ne cesse d’être ! Chacune et chacun de nous doit se sentir fier d’être français. C’est le plus grand honneur qui soit. Or, trop peu de gens aujourd’hui n’accordent pas assez d’importance à cet honneur… Ne parlons même pas de cette gangrène que représente l’individualisme prôné – là encore – par une certaine idéologie, n’ayant eu comme conséquence que de réduire à néant la notion de « devoir »…Les individus – et en particulier les jeunes – agissent de facto par intérêt, et non plus par le sens du devoir. Devoir d’une part envers les plus âgés, devoir également envers leur prochain, mais aussi devoir envers l’Etat. Si vous saviez…ce qu’on ose nous enseigner aujourd’hui…

 Pour autant, à chaque fois que je présente les exploits du « plus illustre des Français » comme pouvait l’affirmer René Coty, à des élèves totalement ignorants sur la vie, l’action et les idées du Général, ces derniers ne peuvent – en définitive – que l’admirer et le louer. Le Général de Gaulle n’est pas simplement une figure de la France parmi tant d’autres…Il est « la France ». Et je suis fier de faire désormais partie d’une association qui s’évertue à chérir son héritage dans lequel nous croyons tous, et sur lequel nous devons rebâtir une France digne de ce nom… ». 

 Merci Thomas. Bienvenue parmi les Compagnons de Fidélité Gaulliste.

 La transmission de l’héritage du Général de Gaulle aux jeunes gens de notre entourage doit être pour nous tous une ardente obligation afin que ce qu’il a réalisé pour la France demeure une source d’inspiration et d’ardeurs nouvelles !

 

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